Vacances ratées : le top 10 de vos pires souvenirs de vacances

On a tous ce pote qui vous dit : « T’inquiète, on bookera tout la veille, c’est comme ça qu’on déniche les meilleures affaires ! » Spoiler alert : ce pote est un escroc, fuyez-le.
Parce que dans la vraie vie, s’y prendre à la dernière minute, c’est une recette garantie pour un compte en banque en PLS.
Les billets d’avion ? Triplés.
Les hôtels ? Full ou hors de prix.
Les activités ? On oublie, elles sont déjà réservées par des gens plus prévoyants que vous.
Résultat, vous vous retrouvez dans un Airbnb en périphérie, avec vue sur le parking, et à manger des pâtes instantanées. Vous pensiez partir pour un trip paradisiaque à petit prix, vous finissez dans un gouffre financier. On apprend de ses erreurs, non ?

Toujours dans la thématique « je m’y prends à la dernière minute », vous rêviez des Maldives. Vous vous voyiez déjà plonger dans une eau turquoise, allongé sur un transat isolé, cocktail à la main. Sauf que voilà, à force de procrastiner, vous avez fini par réserver une semaine à... Palavas-les-Flots. Rien contre Palavas, hein, mais il faut savoir que vous n’êtes pas les seuls à avoir eu cette idée. Entre la plage noire de monde, les cris des enfants, et l’odeur de la crème solaire mélangée aux churros, la réalité vous rattrape vite. Finis les palmiers exotiques, bonjour la serviette coincée entre deux familles et les maillots de bain fluos. Une ambiance à couper au couteau.
Peut-être l’année prochaine, les Maldives ?

La boîte de nuit en vacances ? Incontournable ! Ambiance survoltée, cocktails à gogo, et nouveaux copains garantis. Vous rentrez à l’aube, votre tête encore pleine de rythmes endiablés. Mais voilà, votre meilleure copine vous a forcé à vous lever à midi pour profiter de la plage. Résultat ? Vous vous endormez dès que vous posez la tête sur la serviette, sous le soleil cuisant de midi, sans avoir pensé à remettre de la crème solaire. Le réveil ? Un enfer rouge vif. Le moindre mouvement fait souffrir, chaque tissu qui touche votre peau est une torture, et vous vous transformez en Tomate des Tropiques.
Note à vous-même : ne jamais oublier la crème solaire, surtout après une nuit blanche.

La perte du portefeuille en vacances, c’est un classique. Mais le pire, c’est quand vous réalisez que vous n’avez même pas activé votre wallet électronique (ce truc qui vous aurait pris 5 minutes avant de partir, mais flemme, quoi !).
La CB ? Disparue.
Les papiers d’identité ? Partis avec le portefeuille.
Et pour couronner le tout, vous êtes en vacances avec Fredo, ce pote qui est toujours à découvert (pourquoi êtes-vous parti avec lui déjà ?). Vous espériez qu'il vous dépanne le temps de régler tout ça, mais non. Pas de billet de retour, pas de cocktails sur la plage, rien. Vous voilà coincé, la panique monte, et vous vous dites que la prochaine fois, c’est sûr, vous prendrez une assurance voyage ET vous activerez votre wallet numérique. Et promis, Fredo ne sera pas de la partie.

« Ça a l’air délicieux, non ? » Vous êtes au buffet de l’hôtel, et là, au milieu des salades et des pâtes, un énorme plat de chili con carne. C’est épicé, c’est appétissant, et ça semble être le choix parfait pour agrémenter votre repas. Sauf que voilà, vous avez oublié un petit détail : votre estomac n’est pas du tout prêt à encaisser ce festival de saveurs. Quelques heures plus tard, vous le regrettez déjà. Les crampes commencent, les sueurs froides aussi, et vous vous retrouvez plié en deux dans votre chambre d’hôtel, à maudire ce satané chili (ou pire, dans les toilettes publiques du camping). Le lendemain, vos vacances tournent autour d’un seul et unique point d’intérêt : les toilettes. Une leçon de plus : restez simple, surtout si vous avez un estomac sensible.

On sait bien que l’alcool et l’euphorie des vacances sont un cocktail explosif. Vous partez en voyage avec votre meilleur.e ami.e, avec qui vous avez tout partagé depuis des années. Et puis, une nuit, entre deux verres de mojito, la situation dérape. L’attirance est là, l’alcool aussi, et voilà que vous vous retrouvez à dépasser cette fameuse limite que vous pensiez infranchissable. Le lendemain, c’est la gueule de bois émotionnelle. La gêne s’installe, les silences sont pesants, et vous savez que plus rien ne sera comme avant. Coucher avec son.sa meilleur.e ami.e en vacances ? Mauvais plan. Vraiment.

Vous vous souvenez de la dernière fois que vous avez conduit une voiture ? Non ? C’est probablement un signe. Mais comme vous adorez les défis, vous décidez de louer une voiture pour vos vacances. Et bien sûr, pour économiser un peu, vous choisissez une voiture manuelle (évidemment, c’est moins cher). Sauf que voilà, Parisien que vous êtes, ça fait 15 ans que vous n’avez pas touché un volant. Résultat ? Les calages à répétition, la panique à chaque rond-point, et les locaux qui klaxonnent derrière vous. Vos vacances en road-trip tournent vite au cauchemar. L’année prochaine, on opte pour une automatique, hein ?

La croisière, ce fantasme ultime de liberté, de découverte, et de soirées sur le pont à admirer le coucher du soleil... Sauf que vous aviez omis un détail : votre croisière est principalement fréquentée par des retraités. L’ambiance « soirée karaoké » que vous attendiez se transforme en thé dansant à 17 h, avec un orchestre jouant des valses viennoises. Pas exactement ce que vous aviez prévu. Vous vous retrouvez à discuter avec M. et Mme Dupont, adorables certes, mais pas vraiment dans le même délire que vous. Prochain voyage, peut-être éviter la croisière "tout inclus" ?

Imaginez, vous avez passé des mois à rêver de l’Australie : kangourous, plages immenses, barbecues en bord de mer, et cette fameuse photo devant l’Opéra de Sydney. Vous trouvez un vol à prix cassé pour Sydney et sautez sur l’occasion. Sauf que voilà, une petite erreur de localisation vous envoie à… Sydney au Canada, une toute petite ville dans la province de Nouvelle-Écosse, bien loin des plages ensoleillées.

Le choc à l’atterrissage est immédiat : au lieu de palmiers et de surfeurs bronzés, vous découvrez un charmant petit aéroport désertique, entouré de forêts et de lacs. La morale de l’histoire ? Toujours vérifier deux fois (voire trois) la destination avant de cliquer sur « réserver ».

Des vacances en Polynésie ? Le soleil, le sable fin, et ces magnifiques tatouages tribaux qui ornent fièrement les corps bronzés des locaux. Et là, après quelques cocktails et une soirée inoubliable avec des amis rencontrés sur la plage, vous vous dites : « Pourquoi pas moi ? Ce tatouage, c’est exactement ce qu’il me faut pour immortaliser ce voyage incroyable ! » Ni une, ni deux, vous vous retrouvez dans un petit salon de tatouage local, avec un tatoueur souriant qui vous promet une œuvre d’art traditionnelle.

Sauf que de retour à Paris, la réalité frappe fort. Vous avez un entretien d’embauche important, et là, alors que vous vous apprêtez à enfiler votre chemise, vous réalisez que le tatouage est plus visible que prévu. Vous commencez à penser aux séances de détatouage laser en répondant aux questions de votre interviewer.